Haïti – Santé : Sophia Martelly au chevet des personnes atteintes de tungose à Médor !

La Première Dame de la République, Sophia Martelly, a rendu visite aux habitants de Médor, 6ème section communale de Petite Rivière de l’Artibonite, afin d’apporter son support aux personnes atteintes de tungose, aussi connue sous le nom de « chique », une maladie parasitaire de la peau, fréquente en milieu tropical, causée par la « puce Chique » (Tunga penetrans), qui s’est propagée dans presque toutes les localités de Médor.

Accompagnée du Dr. Robert Honoré, Directeur Départemental de la Santé de l’Artibonite, de quelques membres du Ministère de la Santé Publique, de l’Office d’Assurance Accidents du Travail, Maladie et Maternité (OFATMA) et de la Directrice de la Fondation Rose et Blanc, la Première Dame a voulu, par ce geste, montrer à la population qu’elle n’est pas laissée pour compte.

‘’Une fois informé de cette situation, le Président Martelly m’a demandé de me dépêcher pour venir constater la situation. C’est ce qui m’amène aujourd’hui à Médor. Je suis là pour vous témoigner l’engagement du Président qui ne travaille que pour vous’’, a dit Madame Martelly.
Mme Sélénienne Balthazar Cariétane, Coordonnatrice générale du « Groupe des Femmes Organisées pour le Développement de Médor » (GROFODEM), principale avangardiste de la cause des habitants de Médor dans ce dossier, n’a pas caché sa satisfaction face à la réaction rapide de la Première Dame.
A  en croire le communique du Bureau de Communication de la Première Dame, Cette visite de Sophia Martelly a été l’occasion, de distribuer des milliers de paires de chaussures [la puce Chique provoque des lésions principalement au niveau des pieds nus], des vêtements, des kits hygiéniques et du matériel, pour soigner les personnes atteintes de cette maladie.

Madame Martelly avait déjà dépêché du matériel pour soigner les personnes atteintes de tungose, selon un communique du Bureau de Communication de la Première Dame.

Madame Martelly a invité tous les acteurs impliqués, à donner le meilleur d’eux-mêmes afin d’éradiquer cette maladie le plus rapidement possible.

Par Pierre Philor SAINT-FLEUR (philpy2007@yahoo.fr)

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