L’ADIH dénonce les actes de vandalisme enregistrés lors des manifestations du 22 janvier dernier
L’Association des Industries d’Haiti, à travers une note, condamne les actes de violence perpétré lors des manifestations contre la tenue des élections qui ont été programmées pour dimanche dernier.
Le droit à manifester ne légalise pas les appels à la violence ni la destruction des vies et des biens, lit-on dans une note. L’ADIH présente ses sympathies aux victimes volées et molestées ainsi qu’à l’institution et entreprises vandalisée par les casseurs.
L’ADIH déplore avant tout l’absence des forces de l’ordre dans la journée du 22 janvier. Les valeurs et casseurs ont pu opérer en toute impunité, sans égard pour les paisibles citoyens victimes des actes barbares commis par les manifestants.
Ces casseurs auront de graves conséquences sur l’économie du pays et pénalisent surtout les couches défavorisées de la nation.
L’Association des Industries d’Haiti (ADIH) pense que seul un retour au calme et une concertation entre tous les secteurs du pays permettront de trouver une solution acceptable pour les majorités et arrêter la dégradation d’Haiti. Une note paraphée par le président de l’ADIH, Georges B. Sassine.