Guyana acueille la réunion annuelle des chefs d’Etat et de gouvernement de la Caricom.
Ouverture hier jeudi 2 juillet à Georgestown, capitale de la Guyana, de la reunion des chefs d’Etat et de gouvernement de la Caricom. Cette reunion de trois jours de l’organisation caribeenne sera l’occasion pour les représentants de tous les pays membres, de faire le point sur les activités qui ont été projetées et planifier l’année à venir.
La caraïbe représente une importante oppunité économique mondiale, sa fragilité alarmante n’est pas à l’abri de la crise économique que connait le monde actuellement. La crise économique mondial affecte les pays de la Caraïbe, reconnait l’ambassadeur de la Caricom en Haïti, particulièrement sur le plan touristique.
Aux séances de travail qui débutent effectivement ce vendredi, les discussions porteront sur le dossier du marché économique de la caricom, les problèmes relatifs au libre échange des biens et services, le tourisme, et l’aspect brûlant du dossier da la migration.
L’ambassadeur Earl Stephen Huntley a tenu a expliqué, particulierement, les enjeux de la libre circulation des personnes qui sera au centre des débats à la session de vendredi. Citant la Barbade comme example, le diplomate relate que le dossier de la migration font peur à certains pays. Cette circulation, libre comme on l’entend, facilitera un flux migratoire des populations des pays moins avancés vers ceux où les possibilités d’emplois sont beaucoup plus accessibles. Cette situation similaire à la Barbade où des centaines de Guyanais émigrent et se transforment en main d’oeuvre à bon marché. Il est sans nul doute que ceci a obligé les professionnels de la Barbade à se commoder de facon a trouvé du travail.
Cette réunion de la Caricom sera marquée par la présence de la république Dominicaine, invitée spéciale, qui avait une demande d’afffiliation au Marché Commun Caraïbéen. Dans l’étude de ce dossier, Haïti, membre a part entière de la CARICOM aura son mot à dire. Les dirigéants de la CARICOM vont donc essayer de voir comment faire progresser la communauté caraïbéenne, chercher à se mettre ensemble, créer plus d’ouverture dans la zone et faciliter l’échange de services entre les pays de la Caraïbe .◘