Maitre Josué Pierre-Louis tente de se tirer d’affaires
Le Président du Conseil Electoral Permanent a démenti les informations faisant croire qu’il aurait violé une secrétaire du Conseil Electoral, Madame Marie Danielle Bernadin. Contrairement à la déclaration de Marie Yolaine Gille (RNDDH), Maitre Pierre-Louis soutient avoir eu de très bonnes relations avec la présumée victime jusqu’aux jours ou il découvre qu’elle l’espionnait.
« Les accusations de viol portées contre moi sont faux et archi faux ». C’est, en outre, ainsi que le président de l’actuel Conseil Electoral Permanent s’est exprimé pour se défendre. Les relations entre le présumé bourreau et la présumée victime ne date pas d’aujourd’hui, si l’on en croit la déclaration de l’homme de loi, pris dans deux beaux draps, selon certains.
Arrivée au lieu de la conférence, Maitre Reynold Georges, avocat du concerné exhibe aux yeux de tous les journalistes présent une photo de la dame en compagnie de maitre Josué Pierre-Louis comme pour illustrer l’information laissant croire que les deux personnes entretenaient auparavant des rapports intimes.
Madame Marie Danielle n’est pas une employée du CEP, ajoute l’accusé. « Depuis le temps que je travaille en tant que Consultant Général à l’Institution Electorale, je n’ai jamais connu cette dame comme une employée du CEP. Elle ne faisait que rendre service au Président » soutient le Pasteur Jean Dupoux.
L’Affaire devient encore plus compliquée, lorsque l’accusé de viol fait mention d’espionnage. Suivant les propos de Maitre Pierre-Louis, la dame était surprise en train de l’espionner. Pour appuyer sa déclaration, il avance ce qui suit : « elle a espionné mon téléphone, mon ordinateur dans le but d’obtenir des informations importantes et hautement secrètes ». Toutefois, il n’était pas en mesure de préciser a qui sa présumée victime échangeait ses infos. Il dit, en outre, laisser le soin à la Justice de faire ce que de droit.
De son coté, Maitre Reynold Georges pointe du doigt un certains secteurs qui, d’après lui, chercheraient à mettre son client dans une mauvaise posture pour lui soutirer de son poste au CEP.
.