L’Opposition démocratique haïtienne se renforce selon Maitre André Michel
L’un des membres influent de l’opposition démocratique haïtienne, Maitre André Michel parait de plus en plus confiant quant à la capacité de son équipe de faire échec au pouvoir Martelly. L’homme de loi qui intervenait ce mardi 22 Janvier sur les ondes de SCOOP FM, a réitéré ses critiques envers l’équipe au pouvoir. D’après lui, l’opposition mieux organiser et dynamique veut offrir une nouvelle alternative au peuple haïtien mais sans l’équipe « Tet Kale ».
De tels propos annoncent un grand combat démocratique pour l’année 2013 qui, semble-t-il pourrait se révéler fatal pour le Pouvoir de Martelly. Maitre André Michel, l’un des membres de cette opposition toujours très critique envers l’équipe en place n’entend pas faire de cadeau.
L’opposition démocratique est formée d’un ensemble de partis politiques et d’organisations sociales qui s’étaient réunis à la fin l’année 2012 pour aboutir à un manifeste devant forcer le pouvoir en place à tenir compte des vrais problèmes de la population haïtienne. 5 janvier 2013 cette même équipe avait pris rendez-vous à l’Arcahaie, une rencontre qui a été perturbée par des gens se réclamant du pouvoir nous dit l’homme de loi. Le 19 Janvier dernier, le rendez-vous a été à Leogane où, parait-il, tout le monde était sorti satisfait. Ces diverses rencontres visaient, entre autres, affirme Maitre Michel à renforcer l’opposition ainsi que leur position sur ce qu’il appelle des malversations au niveau du pouvoir.
A en croire les propos de l’opposant au pouvoir Martelly, le groupement auquel il fait parti veut offrir une nouvelle alternative de développement au peuple haïtien qui s’étendra sur 25 ans mais sans l’équipe en place. Ce qui laisse entendre que le pouvoir en place doit coute que coute plier bagage suivant le vœu de l’opposition.
Soulignons, en outre, que ce n’est pas la première fois que ce genre de stratagème monte en surface, toujours pour le bien du peuple. L’on se rappelle le fameux contrat social avec le groupe des 184 qui voulait obtenir le départ de Jean Bertrand Aristide. Quelques temps après, ils ont obtenu gain de cause. Où est donc passé ce contrat social ?